Excerpt from presumptive unpublished, as yet undiscovered Verne manuscript:

“Mon capitaine,” s'exclama-t-elle, “quand tes lézards de cris sont arrivés la première fois dans notre village à distance, nous avons été effrayés. Nous également avons crié alors, si je me rappelle correctement. Aujourd’hui nous les recevons avec l’estime et l’hospitalité. Et bien que nous nous abstenions à émettre des bruits forts de la terreur, nous sommes dans l’habitude de pleurer dehors, ‘O! vous de petits reptiles adorables!’ ou, ‘reposez-vous s’il vous plaît sur mon épaule et chantez-moi avec des cris modérés!’ Exactement la même chose comme toi-même avec ton doigt de déclencheur as maintenu de visiter boudoirs les jeunes dames dans notre village, tu polisson tu, dans la même manière, a ainsi ton dragon avez visité le caniche par l’étang. Il est avec le grand regret que nous disons au revoir, mais nous connaissons tu retournerons à nous à l’avenir, s’il est dans ton puissance de faire ainsi.”

[As auto-translated:] “My captain,” she exclaimed, “when thy screaming lizards first arrived in our remote village, we were frightened. We also screamed at the time, if I recall correctly. Now we receive them with esteem and hospitality. And although we refrain from issuing loud noises of terror, we are wont to cry out, ‘Oh, you adorable little reptiles!’ or ‘Please sit on my shoulder and sing to me with moderate screaming!’ Even as you yourself with your trigger finger have visited the boudoirs of our village maidens, you rascal you, so has your dragon visited the poodle by the pond. It is with great regret that we say goodbye, but we know you will return to us in the future if it is within your power to do so.”